Évanescence des estampes portuaires.
Le doux foyer une lointaine chimère.
Dans le pays bleu, à l’inconnu, leurs coeurs livrés.
Leur barque, au phare de l’art, rivé.
Accordant leur écriture de corps
aux édifiants séismes de l’âme,
interrogeant les aurores verbales,
anges électrisés des nocturnes ciels,
dans ce bal où l’art du vers
dansait la couleur des voyelles,
à leur lecture de cristal,
les conditions de viabilité
d’une consanguinité contractée
par morsures de lave.